Nathalie SAVEY

Je suis peut-être enfouie au sein des montagnes

25 avril 2025 > 12 mai 2025

Nathalie SAVEY

Nathalie Savey, née en 1964, diplômée des Beaux-Arts de Lyon, a réalisé des expositions personnelles (galerie Confluence, galerie François Besson, galerie In Extremis, galerie Yves Iffrig etc.) depuis 2017 avec la galerie Whithoutartgalerie ; participé à des expositions collectives (MAMCS, la Filature de Mulhouse, Maison d’Art Anthonioz, maison de la culture d’Amiens) ; exposé en France, en Allemagne et en Corée du Sud. Ses oeuvres sont présentes dans les collections publiques du MAMCS (Musée d’Art Moderne de Strasbourg), du FRAC Alsace, l’Arthothèque de Strasbourg et au Musée de l’oeuvre Notre Dame et aussi dans des collections privées (collection Madeleine Millot Durrenberger, Marcel Burg). Elle a effectué des résidences comme celle en Corée du Sud à Goyang Art Studio (CEAAC/IASK) en 2012 et en 2018, une résidence sur la montagne du Hartmannswillerkopf dans le cadre du centenaire de la grande guerre en 2018/2020. Publication d’une monographie édition L’Atelier Contemporain accompagnées par des écrits, issus de l’oeuvre de Philippe Jaccottet. Récemment, l’exposition collective Bestia au Musée Wurth 2021/22, présentation de sa série les envolées et réalisé une exposition personnelle au lieu d’Europe en 2022. Réalisé des stages de photographies au Musée Wurth, pour des association, pour des particuliers.

Je suis peut-être enfouie au sein des montagnes

  • « Je cherche à représenter l’immensité, celle de la montagne, du ciel ; entre l’expérience précieuse de la marche et de l’observation, j’ai choisi la photographie pour évoquer l’immensité sans photographier directement la montagne ou le ciel car le sentiment d’immensité est unique et intime à chacun. En redescendant du sommet des montagnes, où il y a des cours d’eau, c’est en regardant les pierres et l’eau dans les rivières que j’ai vu que certaines pierres pouvaient être des montagnes et l’eau que je voyais, pouvait être des cieux.

    En tentant de créer des horizons, je cherche d’autres limites entre le proche et le lointain. Dans mes séries : Les Horizons, Les montagnes rêvées, Les éclarcies, ou Les envolées, les espaces photographiés sont tous des faux paysages. »