Catégorie : Expo Alstom

Alexandra FRANKEWITZ

Photographe documentaire, née en 1976, vit à Sète.
Membre du collectif transit.

« Des Aires »

Une série mettant à plat dans un langage posé et documenté, les fondements du débat et l’incompréhension séculaire entre populations nomades et sédentaires. Un réflexion autour de l’habitat mobile et éphémère nourrit de portraits d’hommes et de femmes liés à ce mode de vie de « simplicité volontaire ».

Régis FEUGÈRE

Photographe français, né en 1976.
Diplômé de l’EESI – École européenne supérieure de l’image à Angoulême, en 2007.

« Adventices »

Adventice, adjectif et nom féminin.
Botanique : plantes adventices, mauvaises herbes.
En philosophie : qui est étranger et introduit dans une nouvelle contrée.

Documentation très subjective de la mutation du quartier de L’Houmeau, sur la rive du fleuve Charente. Un ensemble mêlant paysages indécis où la végétation adventice prolifère entre le bâti désaffecté et les terrains en attente, vues d’architecture et d’urbanisme et portraits de personnes qui travaillent dans le quartier.

Caroline FACCIOLI

Photographe née en 1971, vit à Paris.
Après une licence d’histoire et une formation aux beaux-arts,
elle s’initie au métier de photographe à l’école des Gobelins.

« Territoires inconnus »

Une série d’images interrogeant les relations entre l’humain ( ici figuré par son habitat ) et la Nature à l’heure où la main de l’homme est en train de détruire une grande partie de nos ressources naturelles. Les maisons toujours photographiées du même axe avec la forêt en arrière plan comme une toile tendue divisent ainsi l’espace photographique en deux parties pour nous offrir la vision d’une cohabitation idéale dans un monde imaginé.

Olivier CORNIL

Photographe Belge né en 1980, vit à Liège. Professeur à l’ESA Saint Luc à Liège. Cofondateur de « l’image sans nom», un lieu dédié aux livres et à la photographie.

« Dans mon jardin les fleurs Dansent »

Esthétique sans prétention « plasticienne », artisanale et lente, formidablement perméable à l’humain comme à la poésie du détail, son approche photographique se complète souvent de textes, de documents… Olivier Cornil livre ici, le résultat d’un travail récent et très personnel à propos de sa mère et de la vie de famille, mené en Corrèze entre 2002 et 2018.

Guillaume CHAUVIN

Photographe, poète, journaliste, écrivain, né en 1987,
vit entre Strasbourg et Ekaterinburg.

« Chauvin en Colombie »

Installation composée de 30 exemplaires du livre « En Colombie » et tirages photographiques. Qu’ils soient écoliers, gouverneurs, vétérinaires, soldats… le photographe documente à travers un livre et une série de photographies réalisées en 2018 en Colombie, le quotidien d’une population suivie à chaque heure de la journée. Résultat d’une véritable enquête de terrain loin des stéréotypes qui met en exergue, au gré des surexpositions et isos, le réalisme magique cher aux colombiens.

Mathieu BERNARD-REYMOND

Photographe franco-suisse, né en 1976.
Diplômé de l’École Supérieure de Photographie de Vevey.
Membre du collectif européen Piece of Cake.

« La flèche du temps »

« La flèche du temps »
Conte abstrait au croisement de trois histoires :
La chute d’un pin centenaire, une découverte archéologique sans importance et la fin lointaine d’une mission spatiale.

Anita ANDRZEJEWSKA

Photographe polonaise, vit à Cracovie.

« If the cloud wouldn’t exist »

Un titre inspiré par la citation d’un enseignant bouddhiste Thich Nhat Hanh, extraite du livre « Peace Is Every Step». Une réflexion au sujet de notre dépendance à l’égard de toutes les autres formes d’existence. « Je photographie, je voyage pour ressentir l’immensité de l’espace dans le désert, l’humidité de l’air de la jungle à l’aube, l’espoir qu’une petite graine puisse devenir un arbre puissant et mon propre désir de connexion avec l’univers. »

Ed ALCOCK

Photographe franco-britannique né en 1974, vit à Paris.
Membre de l’agence Myop.

« Entre chien et loup »

Une façon de décrire une certaine lumière dans la journée.
Une expression en adéquation avec la série de photographies qui évoque non seulement, la plupart des ambiances des terres bretonnes, mais aussi la dualité entre l’homme et l’animal. Une terre de partage dont les habitants montrent, chacun à leur manière, qu’ils ont un très grand rapport avec la nature

Gaëlle ABRAVANEL

Photographe française, commissaire d’exposition, galeriste, vit à Paris.

« Demander Pardon Aux Oiseaux »

Une série qui se présente comme un haiku dont chaque photographie forme un poème. Un récit dénonçant les circonstances écologiques dévastatrices sur notre environnement dues aux rejets des pesticides, des métaux lourds, des hydrocarbures… il pose la question de la survie des espèces.